photo Musique au Chambertin - Concert en famille

Musique au Chambertin - Concert en famille

Couchey 21160

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Musique Classique Tatiana et Barbara PROBST (Sopranos), Dominique PROBST (Compositeur/Percussions), Aeyoung BYUN (Piano) La famille Casadesus aux trois visages suite... C'est au tour de Dominique Probst (frère de Jean-Claude Casadesus) de nous présenter ses 2 filles, Tatiana et Barbara, accompagnées au piano de Aeyoung Buyn, aussi belles que talentueuses pour un programme classique et créatif, car la voix est très présente dans cette famille aux ressources infinies. Barbara, comédienne, interprétera Skakespeare et Hugo et Tatiana Soprano chantera des oeuvres de Gounod, Puccini, Messager et Bizet entre autres. Dominique PROBST, compositeur de certaines des oeuvres jouées, sera à la percussion et le trio sera accompagné par Aeyoung BYUN au piano.

photo Orchestre Dijon Bourgogne

Orchestre Dijon Bourgogne

Dijon 21000

Le 21/06/2024

Violon et piano s’effacent devant la créativité d’Adélaïde Ferrière et de son marimba dans ce programme virtuose, où la musique semble plus vivante que jamais. En prime, une page admirable de la trop méconnue Florence Price. Œuvre d’un Bizet de dix-sept ans, la Symphonie en ut (1855) témoigne certes de l’influence de Mendelssohn et Gounod, mais révèle un naturel et un génie mélodique faisant déjà songer à L’Arlésienne. Bizet ? C’est Carmen qui vient aux lèvres, et que salua Pablo de Sarasate, en 1882, avec une fantaisie pour violon qui devait rester l’une de ses œuvres les plus connues. Douze minutes de haute voltige instrumentale, exécutée au marimba par les soins d’Adélaïde Ferrière, qui s’empare également de la partie de piano solo dans la célébrissime Rhapsody in Blue (1924) de Gershwin. Énergie et langueur « jazzistiques » fusionnent dans cette page ainsi recréée pour nos oreilles. Rare et passionnant est enfin l’Andante moderato (1929) de Florence Price, qui fut la première femme noire américaine reconnue comme compositrice, et dont le style, bien qu’influencé par Dvorák, arbore les mélodies pentatoniques typiques de la tradition afro-américaine. Dans le cadre de[...]

photo Orchestre Dijon Bourgogne

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Musique

Dijon 21000

Le 21/06/2024

Violon et piano s’effacent devant la créativité d’Adélaïde Ferrière et de son marimba dans ce programme virtuose, où la musique semble plus vivante que jamais. En prime, une page admirable de la trop méconnue Florence Price. Œuvre d’un Bizet de dix-sept ans, la Symphonie en ut (1855) témoigne certes de l’influence de Mendelssohn et Gounod, mais révèle un naturel et un génie mélodique faisant déjà songer à L’Arlésienne. Bizet ? C’est Carmen qui vient aux lèvres, et que salua Pablo de Sarasate, en 1882, avec une fantaisie pour violon qui devait rester l’une de ses œuvres les plus connues. Douze minutes de haute voltige instrumentale, exécutée au marimba par les soins d’Adélaïde Ferrière, qui s’empare également de la partie de piano solo dans la célébrissime Rhapsody in Blue (1924) de Gershwin. Énergie et langueur « jazzistiques » fusionnent dans cette page ainsi recréée pour nos oreilles. Rare et passionnant est enfin l’Andante moderato (1929) de Florence Price, qui fut la première femme noire américaine reconnue comme compositrice, et dont le style, bien qu’influencé par Dvorák, arbore les mélodies pentatoniques typiques de la tradition afro-américaine. Dans le cadre de[...]

photo Concert de rentrée | Guillaume Tourniaire, Orchestre Dijon Bourgogne & Chœur de l'Opéra de Dijon

Concert de rentrée | Guillaume Tourniaire, Orchestre Dijon Bourgogne & Chœur de l'Opéra de Dijon

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Le 18/09/2021

Quelles que soient les contradictions du « long XIXe siècle », entre poussée scientiste et enchantement romantique, il fut assurément un âge d’or de la scène lyrique européenne. La finesse littéraire de Massenet, attentif aux mythes et légendes; la vivacité rythmique et solaire de Bizet, qui fascina Nietzsche; la mélancolie effusive de Donizetti, qui eût fait chanter les arbres et les roches; la puissance du drame vériste portée au triomphe par Mascagni; l’universalité passionnelle captée par Puccini dans l’hommage à la vie artistique qu’est La Bohême; le combat de Gounod avec l’ampleur métaphysique de Faust; l’ampleur sans égale et le tragique du drame verdien… C’est l’univers même concentré sur la scène, et dans une formule de Balzac : « Quel opéra qu’une tête d’homme » ! Évènement organisé dans le cadre des Journées du patrimoine, avec le soutien de la Ville de Dijon.

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